5 janvier 2008
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Dans une entreprise internationale, on interagit avec des gens du monde entier (je ne suis d'ailleurs pas loin de penser que c’est pour cela qu'on les qualifie d'internationales).
Cela pose parfois des problèmes en ce qui concerne le nom des gens.
Quand on contacte par mail un japonais qu’on ne connaît pas, il est mal venu de l’appeler par son prénom (de façon générale, il est très malpoli d’appeler un japonais par son petit nom, même si on le connaît bien, ou alors il faut qu’il soit suffisamment saoul pour ne pas s’en rendre compte).
Seulement voilà, vu d’ici rien ne ressemble plus à un prénom japonais qu’un nom de famille japonais (ou même un nom de ville ou de plat japonais d’ailleurs ; les menus japonais, eux, se distinguent parfaitement bien du fait qu’ils sont le plus souvent construits à l’aide d’une lettre et d’un chiffre, exemple : " Je vais prendre le menu E4 avec une bière japonaise".
J’ai notamment appris à mes dépends et après avoir froissé une bonne partie du bureau de Tokyo que Furuashi n’était pas du tout un prénom, que Yoshiaki n’était pas un nom de famille, et que Etsuko était plutôt un prénom que l’on donne aux filles.
Cela dit il n’y a pas besoin d’aller aussi loin pour avoir des difficultés patronymiques. Prenons par exemple notre Secrétaire d’Etat aux droits de l’homme : Rama Yade. Et bien j’ai longtemps cru que Ramayade était tout attaché, que c'était juste son prénom et que tout le monde l’appelait ainsi parce qu’elle était toute jeune.
Au passage, j'avais depuis longtemps l’impression d'avoir déjà entendu ce prénom quelque part et je me demandais d'où venait le caractère familier de ce petit nom qui n'en est pas un.
Et puis l’autre jour, en rangeant ma collection de mp3, j’ai trouvé ça.
Cela pose parfois des problèmes en ce qui concerne le nom des gens.
Quand on contacte par mail un japonais qu’on ne connaît pas, il est mal venu de l’appeler par son prénom (de façon générale, il est très malpoli d’appeler un japonais par son petit nom, même si on le connaît bien, ou alors il faut qu’il soit suffisamment saoul pour ne pas s’en rendre compte).
Seulement voilà, vu d’ici rien ne ressemble plus à un prénom japonais qu’un nom de famille japonais (ou même un nom de ville ou de plat japonais d’ailleurs ; les menus japonais, eux, se distinguent parfaitement bien du fait qu’ils sont le plus souvent construits à l’aide d’une lettre et d’un chiffre, exemple : " Je vais prendre le menu E4 avec une bière japonaise".
J’ai notamment appris à mes dépends et après avoir froissé une bonne partie du bureau de Tokyo que Furuashi n’était pas du tout un prénom, que Yoshiaki n’était pas un nom de famille, et que Etsuko était plutôt un prénom que l’on donne aux filles.
Cela dit il n’y a pas besoin d’aller aussi loin pour avoir des difficultés patronymiques. Prenons par exemple notre Secrétaire d’Etat aux droits de l’homme : Rama Yade. Et bien j’ai longtemps cru que Ramayade était tout attaché, que c'était juste son prénom et que tout le monde l’appelait ainsi parce qu’elle était toute jeune.
Au passage, j'avais depuis longtemps l’impression d'avoir déjà entendu ce prénom quelque part et je me demandais d'où venait le caractère familier de ce petit nom qui n'en est pas un.
Et puis l’autre jour, en rangeant ma collection de mp3, j’ai trouvé ça.
Titre incontournable des années 70
dont on aura pris soin de garder le titre secret
afin de préserver au lecteur un effet de surprise
visant à produire un effet comique.