5 décembre 2007
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L’entreprise dans laquelle je travaille a récemment décidé de régler par défaut toutes les photocopieuses en mode recto-verso. Cette initiative a pour but de générer quelques économies de frais variables et aussi de sauver quelques arbres.
Seulement voilà, quand on imprime une jolie présentation PowerPoint en couleur sur la photocopieuse atomique de l’étage (celle qui paraît-il fait aussi scanner et fax, sans que personne n’ait encore réussi à percer les mystères de cette fonctionnalité), les effets combinés de l’agrafage dans le coin inférieur droit du document et de l’inversion haut-bas du mode recto-verso paramétré de force, rendent le plus souvent la dite présentation inutilisable à moins de risquer une luxation collective du coude lors de la réunion à laquelle l'impression de ces supports est destinée.
Juste après un premier essai, on tente en général de remettre la liasse obtenue dans le chargeur afin de générer un document normal et on obtient le plus souvent un autre recto-verso dans lequel il manque une page sur deux.
On met alors rapidement le tout à la poubelle en grognant avant de repartir lancer l’impression sur une imprimante normale, non sans se lamenter sur le triplement probable de la consommation de papier dans l’entreprise consécutif à la mise en place de cette mesure liberticide.
Seulement voilà, quand on imprime une jolie présentation PowerPoint en couleur sur la photocopieuse atomique de l’étage (celle qui paraît-il fait aussi scanner et fax, sans que personne n’ait encore réussi à percer les mystères de cette fonctionnalité), les effets combinés de l’agrafage dans le coin inférieur droit du document et de l’inversion haut-bas du mode recto-verso paramétré de force, rendent le plus souvent la dite présentation inutilisable à moins de risquer une luxation collective du coude lors de la réunion à laquelle l'impression de ces supports est destinée.
Juste après un premier essai, on tente en général de remettre la liasse obtenue dans le chargeur afin de générer un document normal et on obtient le plus souvent un autre recto-verso dans lequel il manque une page sur deux.
On met alors rapidement le tout à la poubelle en grognant avant de repartir lancer l’impression sur une imprimante normale, non sans se lamenter sur le triplement probable de la consommation de papier dans l’entreprise consécutif à la mise en place de cette mesure liberticide.
Collectif des sans papiers -Les p'tits papiers