Ce week-end constitue le point d’orgue d’un projet au travail sur lequel nous travaillons depuis des mois, ce qui me laisse assez peu de temps pour dormir ou alimenter ce blog (en ce qui concerne ma propre alimentation ça va, les plateaux repas sont plutôt pas mal).
Je prends quand même le temps de rédiger un tit billet, avec une tite musique que j’aime bien et une photo de colibri, en me disant que le tout fera un chouette interlude.
A la télé, ça n'existe plus les interludes et c'est dommage. Dans cette industrie, tout est maintenant calé à la microseconde. Perdre une demi minute d’antenne engendrerait un manque à gagner significatif intolérable.
Dans la vie non plus ça n’existe plus les interludes, sauf peut être dans les avions que n’atteignent pas encore les ondes des téléphones portable, mais quelquechose me dit que ça ne durera pas.
Je me demande même si à force ce mot ne va pas finir par être retiré du dictionnaire.